Archive for mars, 2007

Changement d’hébergeur

samedi, mars 31st, 2007

Je viens de porter mon blog sur OVH. Free, c’est bien gentil mais les temps de réactions sont vraiment insupportables et chose que j’ai découvert récemment, OVH a également une offre gratuite 🙂

Le portage s’est globalement bien passé mais j’ai perdu la notification par e-mail des différents commentaires. Dans sa version « démo », OVH n’offre pas la possibilité d’émission d’e-mail lorsqu’un contributeur écrit un commentaire, par exemple sous WordPress. De plus, la taille de la base de donnée semble être très réduite dans cette version.

Pour ces raisons, j’envisage de passer sur une formule payante dès que je me sentirai trop à l’étroit.

Playstation 3 in Europe

vendredi, mars 23rd, 2007

Quatre mois après sa sortie aux USA et au Japon, voici la Playstation 3 déboulant en 1 million d’exemplaires sur le vieux continent dont 100.000 destinés à la France. Certains distributeurs de la capitale sont restés ouverts à minuit pour satisfaire le gogo pressé de se faire délester de 600€. D’après gamekult, la sauterie de Sony n’a pas eu les retombées espérées. Une cinquantaine de consoles auraient été vendues à l’issue de cette opération commerciale (information recoupée ce matin sur France Inter) mais bon ça, je m’en fout royalement, passons à des choses plus interessantes.

Vue générale

La console est livrée dans son boîtier noir équipé d’un disque dur de 60Go (S-ATA au format standard 2.5″) avec un PAD, un cordon USB permettant de recharger/raccorder le PAD sur la console, le cordon d’alimentation, un câble Ethernet, le câble AV Multi (Composite… *houuuu*) et son adapteur péritel.

Le format ovoïde du boîtier rend impossible l’empilement de différents éléments électroniques de votre salon et sa couleur noire semble avoir été choisie pour attirer la poussière et mettre en évidence les traces de doigts. Ca commence bien. Il est clair que j’aurai apprécié avoir le choix entre différents coloris et un joli aluminium brossé aurait été parfaitement raccord avec mon équipement actuel. Bon tant pis.

La PS3 est animée par un processeur (le Cell) composé d’un coeur principal (PPE – PowerPC Processing Element) sur une architecture de type PowerPC donc, et de huit coeurs spécialisés (SPE – Synergetic Processing Element). Le GPU quant à lui, est basé sur une architecture G70 de chez NVidia. Je ne vais pas m’étendre sur ces aspects matos, ce n’est pas le but de ce billet.

Vous le savez sûrement, Sony a fait le choix du Blu-ray en terme de source HD. Ce lecteur de type stick in (mange disque) offre une compatibilité avec les formats BD 2x, DVD 8x, CD 24x et SACD 2x. Mince, j’aurai préféré un lecteur à tiroir plutôt qu’une cochonnerie mange disque. Je ne sais pas vraiment pourquoi mais cette techno ne m’a jamais rassurée. Cela dit, entre un mange disque bien foutu et un tiroir cheap il faut voir 😉 .

Le PAD

Vous me reconnaisez ? Non : vous sortez, Oui : on continue ensemble :mrgreen: . C’est bien un PAD PS2 like. Son format est identique mais quelques nouveautés font leur apparition.
Tout d’abord un raccordement wireless Bluetooth offrant une liberté d’éloignement avec la console. Celle-ci accèpte jusqu’à sept PAD reliés, m’est avis que ça devrait suffire. La techno wireless implique une batterie embarquée dans le PAD et donc nécessite une charge régulière se réalisant grace au cordon USB fourni. Lors de la charge, le joueur pourra continuer à jouer mais j’ai lu quelque part que ce cordon était un peu court et la connectique côté PAD serait un poil cheap. Apparemment, le câble mesurerait 1.5m… personnellement, je ne trouve pas ça très court.

A l’image de Nintendo et sa Wii, Sony a développé un PAD à détection de mouvements baptisé SixAxis. Pour l’heure, il semble que le seul jeu exploitant cette techno soit Call of Duty 3.

Dernière nouveauté sensible de ce PAD, l’apparition des touches L2 et R2 en mode progressif. Ce ne sont plus des tout-ou-rien mais des espèces de stick dont la pression sur l’un d’eux permet un dosage de … heuuu… un dosage quoi :mrgreen: .

Ah non, j’allais oublier. Sony a décidé de supprimer les vibrations de ses nouveaux PAD PS3… *houuuuu*… Remboursez !

La connectique

Outre le raccordement Bluetooth dont le PAD est le premier équipement à utiliser en natif, on trouve quatre ports USB 2.0, une connexion Ethernet (RJ-45), un raccordement WiFi (802.11 b/g – Wep et Wpa), trois slots lecteurs de cartes MemoryStick/SD/CompactFlash, une sortie vidéo analogique (Composite, S-Video et YUV), une sortie video numérique HDMI et une sortie audio numérique optique. C’est du lourd.
Passons sur les slots des cartes mémoires dont je me moque éperdument pour s’attacher aux formats vidéos.

De base, la console est livrée avec un câble vidéo/audio à trois connecteurs permettant de sortir le son stéréo (cinch rouge/blanc) et la vidéo dans un format composite (cinch jaune) le tout se branchant sur l’adaptateur péritel fourni. Beuurkkk… Oubliez tout de suite un éventuel raccordement via cette interface et préférez un « câble » optique raccordé à votre ampli pour ce qui est de l’audio. J’aurai apprécié une sortie s/pdif en plus ou même à la place de l’optique. J’ai une mauvaise expérience avec l’optique et ça n’apporte absolument rien dans de telles conditions. Tant pis.

Pour la vidéo, là ça se complique un peu puisque tout le monde n’a pas encore de diffuseur avec une entrée HDMI. Si votre téléviseur en est équipé, n’hésitez pas une seconde, dans le cas contraire tournez-vous vers un câble YUV offrant un très bon rendu ou bien encore un câble S-Video améliorant nettement le format basique (Composite). Evidemment, ceux-ci ne sont pas fourni en standard, il vous faudra acheter le câble correspondant à votre choix.

Rétro-compatibilité

Contrairement à ce qui avait été annoncé lors des premières opérations de communications made in Sony, l’ensemble des jeux PS2 ne seront pas compatible sur la PS3. Lors de la conception de leur console (et sauf erreur sur les premières versions de la PS3), Sony avait embarqué des chips sortis de la PS2 de façon à garantir cette compatibilité mais pour des raisons économiques, « ils » sont revenus en arrière. Dorénavant, la compatibilité avec la PS2 est laissée à la charge d’une couche logicielle (un émulateur), la conséquence de cette décision est la rupture de compatibilité systématique. Pas de panique pour autant, les mises à jour du firmware devraient règler ces défauts. On parle déjà de plus de 1200 jeux PS2 compatibles avec cette nouvelle console.

Contenu vidéoludique

Aujourd’hui, 30 jeux PS3 accompagnent la sortie de la console. Ce n’est pas très important m’enfin il faut laisser le temps aux studios de développement de nous pondre des titres exploitant les nouvelles ressources de cette station de jeux.

En vrac, les titres :
Resistance Fall of Man, MotorStorm, Genji Days of the Blade, Formula One Championship, Ridge Racer 7, Call of Duty 3, Marvel Ultimate Alliance, Tony Hawk’s Project 8, Gundam Target in Sight, Full Auto 2, Sonic the Hedgehog, Virtua Fighter 5, Virtua Tennis 3, World Snooker Championship 2007, NBA 2K7, NHL 2K7, Blazing Angels Squadrons WWII, Enchanted Arms, Tom Clancy’s Splinter Cell Double Agent, The Elder Scroll IV : Oblivion, Def Jam : Icon, Fight Night Round 3, NBA Street 4 Homecourt 2007, Need for Speed Carbon, The Godfather : The Don’s Edition, Tiger Woods PGA Tour 2007, Untold Legends Dark Kingdom, F.E.A.R. , Tekken Dark Resurrection, Lemmings, Go ! Sudoku, Go ! Puzzle, Blast Factor, Flow, Super Rub’a’Dub, Gripshift.

Pour de plus amples informations, je vous renvoie sur la page concernée (Le site est parfois lent).

Au cours de l’automne 2007, Sony devrait lancer un univers virtuel persistant (baptisé Home) dans lequel le joueur pourra créer son avatar et gérer un environnement personnel tout en échangeant des données avec les autres joueurs. Certains en font l’analogie avec Second Life. Plutôt qu’une longue description, allez jeter un oeil sur la vidéo ci-dessous.



Note : Je ne possède pas (encore ? ) de PS3, ce billet a été rédigé sous forme d’une revue de presse. Les éventuelles erreurs s’étant fortuitement introduites dans cet écrit me vaudront, pour chacune d’elles, un coup de règle métallique sur mes petites phallanges. N’hésitez pas.

Shadow of the Colossus

jeudi, mars 22nd, 2007

Après avoir lu différents articles sur ce jeu PS2, je me suis décidé à le commander. Deux jours plus tard, il arrivait dans ma boîte aux lettres.

Shadow of the Colossus est la suite de l’excellent ICO. Il s’agit d’un jeu d’aventure/action sur Playstation 2 dont le héros entre dans un monde en marge, chevauchant son fidèle cheval (aggro) sur lequel nous pouvons distinguer le corps inanimé d’une jeune femme. Notre héros passe les portes de ce monde afin de rencontrer le maître des lieux, ayant entendu dire que celui-ci pouvait redonner la vie. Houlà jeune homme, ce n’est pas si simple pour un mortel. Il faut détruire l’ensemble des immenses idoles en pierre placées de part et d’autre de la grande pièce dans laquelle nous atterrissons. Chose impossible dixit le maître des lieux mais chacune de ces idoles vit au travers d’une incarnation de colosse au sein de ce monde. Battre un colosse revient à détruire une idole. Waoow cool, j’ai une soluce pour redonner la vie à ma dulcinée :mrgreen: . Le jeu est introduit par une très belle cinématique et au fil du temps, sur chaque événement particulier, d’autres cinématiques viendront complèter l’histoire.

Ma première impression est que Shadow of the Colossus est bien de la même trempe qu’ICO. L’environnement est grand, spacieux et beau. Ok, ce n’est qu’un jeu PS2 mais la sensation d’immensité est bien là, même si l’effet de brume utilisé de façon à ne pas afficher une grande profondeur de vue, vient réduire cette sensation. Ce n’est pas bien gênant, l’ambiance est immédiatement placée. Ma femme, n’appréciant pas vraiment les jeux vidéos au sens large, s’est exclamée tout au long de l’aventure « waoow c’est beau »… Je pensais en moi-même, tsss tsss, meuuuh non ce n’est pas beau, c’est classe et bien réalisé mais comparé aux rendus que l’on peut admirer sur PC, c’est léger. Je n’ai pas voulu la réfreiner dans ses sensations et puis il est vrai qu’il en ressort une certaine idée du beau 😎

Allons-y, c’est parti ! Je siffle Aggro (mon cheval) et en avant pour le premier colosse. Heuuu je vais où là ? C’est immense ici ! En sortant mon épée de son fourreau, un rayon lumineux permet de donner la direction vers laquelle se trouve le colosse convoité. Plus le rayon est convergent, plus la direction est correcte. Ah, c’est sympa comme principe. Aller zou, un petit coup de map pour se repérer… heuuu.. ah oui alors là, la map est à la limite de l’inutilisable. Pas grave, ça donne toujours une petite idée. En avant vers le premier colosse.

Après une gentille balade à cheval, je me retrouve face à un immmmmennnnse colosse.. waooow la taille de guignol, mais il est énoooorme !

Chaque colosse a un (ou plusieurs) points faibles. Ceux-ci sont repérés par une lumière bleutée émanant de la dite zone. Il faut planter son épée à plusieurs reprises sur chacun de ces talons d’Achille mais avant cela, il faut atteindre ces points. Pour donner un ordre d’idée, les colosses mesurent environ 30 mètres de haut, il faut donc systématiquement leur grimper dessus afin d’atteindre leurs zones sensibles. Généralement, une des zones se trouve sur la tête dudit colosse mais il faudra se hisser sur d’autres extrémités de son corps pour le finir. Attention, petite précision « utile » : les zones sensibles n’apparaissent QUE lorsque notre héros maintient son épée en main. Si vous ne sortez pas l’épée, vous ne verrez pas la zone bleutée de plus, cette zone n’est pas visible à distance, il faut être assez proche pour la distinguer. Petit bémol néanmoins, certains points sensibles sont immédiatement visibles et à portée de notre arc (oui nous avons aussi un arc). Typiquement, sur certains passages une bonne volée dans un des pieds du colosse le mettra à genoux.

Vous l’avez compris, il faudra grimper sur les colosses. La touche R1 permet à notre héros de s’accrocher à tous types de rebords saillants et aussi de s’agripper aux poils desdits colosses. Une jauge rose circulaire nous informe sur la capacité du héros à rester accroché. Plus le cercle diminue, moins il vous reste de temps et lorsque ce cercle disparaît, la chute est inévitable. Il vous faudra gérer cette résistance en vous reposant, c’est à dire en lachant prise dans un état stable. Dans ce cas, la jauge augmentera et par là même, vous redonnera un peu de répit. Ne soyez pas naïf, les monstres ne se laisseront pas faire et vous secouerons dans tous les sens. Ne lâchez pas R1 lorsqu’ils s’agitent, à vous d’être dans le pulse 🙂 .

Les combats sont funs, stressants, amusants et la vision du premier colosse mordant la poussière est bien jouissive :mrgreen: . L’histoire se déroule, vous enchaînez les colosses avec parfois quelques difficultés pour trouver les points sensibles. Pas de panique, les chutes de 30 mètres n’aboutissent pas par la mort de notre héros. Il est sonné et sa vie descend copieusement mais quelques secondes de répit lui permettent de regagner un nouveau souffle et zouu on repart à l’assaut. Très très fun.

Quelques regrets néanmoins sur la partie sonore du jeu. J’aurais apprécié un son en Dolby Digital avec de bonnes grosses basses lorsque les colosses s’écroulent par exemple. La qualité sonore reste faible dans la majorité des jeux PS2 auxquels j’ai pu jouer, je le regrette et j’espère que les choses vont s’améliorer avec l’arrivée de la PS3 😉 .

Je ne veux pas en dire plus sur Shadow of the Colossus afin d’éviter le spoiler crasseux. L’aventure mérite vraiment d’être vécue pleinement. Si toutefois vous avez quelques difficultés sur certains passages, voici un lien décrivant l’ensemble des combats mais n’en abusez pas, je vous conseille de prendre votre temps. A noter néanmoins que le dernier colosse décrit sur cette page, n’est pas complet et j’ai eu du mal à comprendre ce que l’on attendait de moi.

Pour finir, nous (ma femme et moi) sommes restés sur le cul après avoir vaincu le dernier colosse. Sony Computer nous gratifie d’une cinématique d’au moins 15 minutes afin de conclure cet épisode. Jouissif je vous dis.

CPU revenge

mercredi, mars 21st, 2007

Grmbll… contrairement à ce que j’ai pu écrire dans le billet précédent, mes soucis de CPU n’étaient pas règlés. Les niveaux de T° constatés me grataient et j’ai souhaité vérifier la bonne tenue des T° CPU face à du jeu 3D.

Mon premier test s’est fait sur un simulateur de modèles réduits RealFlight G3. Au bout de 15 minutes de « jeux », biiiip *pinpon*pinpon*, l’alarme de T° du CPU retentie. Je l’ai placée à 65°C. Ce n’est pas un niveau de T° normale.

Afin d’être autonome, j’ai DL 3Dmark 2005 et déroulé les tests tels qu’ils sont proposés en standard. Là, au bout de 5 minutes, l’alarme sonne. Rhaaallll. Je me suis payé deux ventilateurs de boîtier, croyant résoudre ces problèmes. Que nenni.

Après ce constat d’échec, je décide hier de foncer chez mon revendeur afin de lui montrer ces hausses intempestives et inacceptables de T°. Il me confirme que ce n’est pas normal (oui, ça c’est net). Il téléphone à son fournisseur en lui indiquant le soucis, ce dernier lui demande de faire un retour. Nous montons un autre CPU Athlon 64 3500+ (socket 939) qu’il a en stock et j’en profite pour lui faire remonter mon « ancien » ventirad sur le nouveau CPU. J’ai constaté que le nouveau ventirad émettait un léger son aigü assez pénible, quasi inaudible mais étant très sensible aux fréquences élevées, j’ai préféré règler tous les soucis.

Nous relançons le benchmark et le résultat est identique. On redémonte le ventirad, on ôte un peu de pâte thermique parce qu’il y en avait trop à mon goût. Résultat, l’alarme ne sonne plus mais la T° du CPU grimpe tout de même à 61°C-62°C 😯 … Zzzzzzz.

Là évidemment, deux CPU différents ayant un comportement quasi identique entre-ouvre la porte à des diagnotics du type « La carte mère a pris un coup »de la part du revendeur. Oui mais non, je n’accèpte pas cette hypothèse. Ayant été assez dissuasif, mon revendeur accèpte un dernier essai avec un troisième CPU. Tous les CPUs essayés étaient neufs et en version boîte. Le stock d’Athlon 64 3500+ ayant été « Ã©puisé », nous entreprenons un nouvel essai avec cette fois-ci, une version 3800+ du CPU. Montage, puis lancement du bench en ayant pris soin de démarrer mon outil de monitoring des T° (comme pour tous les autres tests précédents).

Le résultat est sans appel ! La T° du CPU en IDLE est autour de 36°C et monte à 51°C en pleine charge du benchmark. HOURA !

Eh bien j’en ai chier. Le résultat est là certes, mais quid des deux CPU Athlon 64 3500+ testés précédemment ? Pourquoi grimpaient-il en T° comme cela ? Je dois reconnaître ne pas avoir d’idées précises sur le sujet. Je me souviens avoir lu il y a fort longtemps que les CPU gravés en 0.13u chauffaient plus que ceux gravés en 0.09u m’enfin de là à constater de telles différences, j’ai du mal à y croire. Peut-être une série de CPU défectueuse ?

Tout est bien qui fini bien, j’ai à nouveau un PC silencieux et stable en T°.

Changement de CPU

mercredi, mars 14th, 2007

Voilà c’est fait, j’ai un « nouveau » CPU. Pas vraiment nouveau en fait puisqu’il s’agit du même modèle, un Athlon 64 3500+ sur socket 939 mais celui-ci n’est pas grillé :mrgreen: Je me suis fait enfler de 100â?¬ à la louche. Oui ok, on trouve à meilleur marché mais j’ai eu la flemme d’attendre la livraison d’une hypothétique commande passée online. J’ai donc failli pour un revendeur local, chose que je fais systématiquement du reste, lorsque je change de config complète.

J’ai réglé les T° de shutdown ainsi que les intervalles de T° monitorée de façon à mouvoir à différentes vitesses les ventilos. Curieusement, je croyais me souvenir d’une T° CPU de fonctionnement en dessous de celle que je constaste actuellement (ici 46°) mais peut-être me trompe-je. Pas dramatique de toutes façons puisque que j’habite une région où les T° extérieures sont rarement au-dessus 20° 😛